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UNE AIDE DE LA PEDROLLO AU BANGLADESH POUR LUTTER CONTRE LE FLEAU DU « PIED BOT ».
Il y’a une terrible et handicapante maladie qui existe en Europe mais qui frappe le plus les enfants du tiers monde avec un pourcentage très élevé, surtout ceux de sexe masculin. Elle s’appelle « pied bot » congénital, en anglais « clubfoot » . Est une malformation congénitale qui cause la rotation des pieds vers l’intérieur avec les doigts vers le bas, les laissant rigides et déformés. Cette grave situation, empêche de marcher correctement et au fil du temps, la douleur augmente et la fonctionnalité des membres devient gravement compromise.
Le Bangladesh parmi les pays les plus frappés, lance le « zero clubfoot project ». Une association qui se propose de réduire l’incidence de cette maladie à travers des techniques chirurgicales et orthopédiques modernes moins gênantes et avec une majeur probabilité de succès.
La Pedrollo a répondu à l’appel d’un partenaire commercial Nader Khan, pour soutenir le projet qui vise à réduire le malaise des familles et celui de près de mille enfants qui naissent chaque année, affectés par le « pied bot » dans la région de Chittagong.
L’INSTALLATION DES POMPES AIDE À COMBATTRE LA «CÉCITÉ FLUVIALES»
Plus de 37 millions de personnes, l’équivalence de la population totale de l’Océanie, sont les habitants des plus pauvres zones de l’Afrique centrale frappés par l’onchocercose , appelé maladie de la « cécité fluviales ». Une maladie infectieuse causée par l’infection des cours d’eau de la part d’un parasite véhiculé par les moucherons. Selon l’organisation mondiale de la santé, la maladie a déjà rendu aveugles presque six millions de personnes dans le monde, malgré les bons résultats obtenus grâce à la campagne pour son éradication. Elle est de toute façon considérée la deuxième cause de la cécité par les pathologies de nature infectieuse après le trachome.
Une fois infiltré dans le corps, le parasite voyage sous la peau, causant démangeaisons et inflammations. Après plusieurs années, parvient à détruire les yeux , en laissant des cicatrices sur les tissus oculaires qui conduisent à une entière cécité.
Bien qu’il existe un médicament pouvant guérir la maladie, ce fléau a continué à frapper l’Afrique en provoquant de graves souffrances aux populations, naturellement accompagnées par la pauvreté et par de dramatiques problèmes sociaux qui aggravent une situation déjà compromise.
La diffusion de la maladie, est corroborée par l’insuffisance de l’eau potable ; et ceci pousse les populations et le plus souvent les enfants, à aller chercher de l’eau dans des puits qui se trouvent à coté des rivières dans des zones humides, infectées par les moucherons. Pour cette raison, la construction des puits et l’installation des pompes dans les villages, au-delà de la résolution des problèmes de fourniture en eau, aide de manière indirecte mais décisive à combattre l’onchocercose.
UNE AIDE POUR L’ÉTHIOPIE, OÙ LE DÉVELOPPEMENT EST ENTRAIN DE TARIR LE BASSIN DU NIL
Presque 700 millions de dollars, qui peuvent atteindre 4 milliards et demi dans les prochaines années , c’ est ce que le gaspillage d’eau potable coûte chaque année à l’Éthiopie , une des nations malheureusement plus distinguées dans le monde en terme de pauvreté, de faim et de mortalité infantile.
Un chiffre impressionnant qui ne dépend pas des caprices de la nature, mais paradoxalement du développement qu’a eu le pays ces dernières années. Le territoire du Nil Bleu, est le plus important réceptacle des eaux de tout le Nil. C’est une zone qui a eu une rapide croissance démographique,
ce qui a réduit la disponibilité de l’eau et les autres biens naturels de la région.
La preuve plus dramatique de cette pression sur les ressources environnementales, est représentée proprement par l’extension des zones désertifiées. Chaque année de 150 à 210 millions de tonnes de sol fertile, se transforme en terre aride à cause de la rétraction du bassin versant du Nil Bleu avec un coût non seulement environnemental, mais surtout économique ; insoutenable et qui est destiné à s’aggraver.
En plus, même si c’est l’Éthiopie qui supporte l’essentiel de ces coûts, la désertification frappe aussi au-delà des frontières avec un effet qui détruit les réserves hydriques, les canaux et les structures hydrologiques dans les pays en aval du cours d’eau, comme le Soudan et l’Égypte.
Même s’il y’a une étude de projet pour limiter les dégâts (illustré par le site www.thewaterchannel.tv) , la meilleur solution, c’est une bonne gestion de l’eau dans le territoire, avec des puits et des pompes dans les villages pour assurer sans endommager le sol, la durabilité des installations et celle de l’agriculture.
SOMMET ONU À RIO: OBJECTIF, GARANTIR À TOUS LE SEUIL MINIMUM DE L’EAU POTABLE
Dans quelques jours, au Brésil, du 20 au 22 Juin, sera tenue la conférence “Rio+20”, organisée par UNCSD (conférence des nations unies pour le développement durable) pour célébrer le vingtième anniversaire du sommet de la terre et le dixième de celui mondial pour le développement durable. Ainsi le point sur les engagements pris dans les deux occasions sera fait et de nouveaux défis seront formulés.
Un des plus importants thèmes qui seront débattus à Rio, ensemble avec l’alimentation, la prévention des catastrophes environnementales, le travail, les villes durables, l’énergie et la sauvegarde des océans, sera naturellement l’eau.
L’objectif de “Rio+20”, est de confirmer les engagements pris pour le développement durable, évaluer les progrès jusqu’ici réalisés et de définir les priorités en vue de combler le gap qui reste pour atteindre les objectifs fixés par plus importants sommets.
En ce qui concerne l’eau, il faut rappeler qu’aujourd’hui, une personne sur six ne dispose pas de la quantité d’eau journalière minimum par tête, établie à 20 litres. Ceci est en effet considéré comme le seuil qui permet d’assurer la satisfaction des besoins primaires liés à l’alimentation et aux conditions hygiénico-sanitaires. Les personnes qui vivent dans des régions caractérisées par une pauvreté hydrique sont au total 1,6 milliards et la sécheresse constitue la plus répandue cause de pénurie alimentaire dans les nations sous développées.
Fournir l’eau à tous, assurer à chaque individu l’accès à l’eau potable pour combattre la pauvreté et favoriser la croissance, est le plus important défi à relever pour redonner la dignité à l’homme. La Pedrollo S.p.A qui en a pris pleinement conscience, inscrit dans son action quotidienne la volonté de relever ce défi qui interpelle toute l’humanité.
BOURSE D’ÉTUDE DE LA PEDROLLO AUX MEILLUERS UNIVERSITAIRES DE LA LIUC DI CASTELLANZA
L’engagement de la PEDROLLO pour le soutien de la culture universitaire se poursuit et s’affirme la collaboration avec l’université LIUC de Castellanza (Varese), que notre entreprise soutient en donnant des bourse d’étude aux meilleurs étudiants qui sont cette année : Marco Bellea de la faculté d’ingénierie, Andrea Sala des sciences juridiques e Paola Burderi de l’économie.
Le recteur de la LIUC Valter Lazzari, a remercié la Pedrollo, soulignant que « responsabiliser les jeunes c’est favoriser le développement des talents et contribuer à la relance de la communauté ».
Simone Sanavio, en qualité de représentant de la Pedrollo, a souligné l’importance d’une culture qui sauvegarde la centralité de la personne, aussi pour vaincre la crise. « Cultivez un sens du pragmatisme sain a aussi ajouté- en expérimentant dès maintenant la réalité que vous trouverez dans le monde du travail. Le futur est entre vos mains : avec vos rêves d’un monde meilleur, vous êtes aussi l’espoir des entreprises ».
LA PEDROLLO AU CHEVET DES FILLES POUR SOUTENIR L’ÉDUCATION AU BANGLADESH
La culture, et particulièrement l’éducation scolaire des jeunes, sont les premières « briques de l’espoir » que la Pedrollo pose sur le chantier de la solidarité au bénéfice des peuples qui se trouvent fortement dans le besoin, en ce sens que la connaissance est le premier moteur du développement d’un pays.
Ce principe est d’autant plus important surtout quand les bénéficiaires des aides, sont des enfants, souvent oubliés dans les pays sous développés.
Pour cette raison, depuis des années, la Pedrollo s’est constamment engagée dans la construction des édifices scolaires au Bangladesh a Khulshi, un faubourg de la métropole de Chittagong.
Suivant le requête du Partner historique Nadel Khan, la Pedrollo a décidé de soutenir et développer une antique institution scolaire en créant un pole de qualité dédié aux enfants et aux filles.
Les travaux initiés en 1988, ont abouti à la construction d’un édifice qui abrite 750 jeunes qui font des études de la maternelle au lycée.
La Pedrollo soutien aussi, d’autres écoles de haute qualité au Bangladesh dont la Cider School avec presque 3000 étudiants qui reçoivent une instruction d’excellence, un moyen de lutter contre l’immigration des meilleurs talents du pays, une véritable fuite des cerveaux comme celle qui afflige l’Italie.
UN ENGAGEMENT PRÉCIEUX: RENCONTRE ENTRE LES DONATEURS DE BOURSES D'ÉTUDES ET LEURS BÉNÉFICIAIRES
25 MAI 2011 - UNIVERSITÉ CARLO CATTANEO - LIUC, CASTELLANZA
L'université Cattaneo existe depuis1991 et les entreprises qui l'ont créée et financée à l'époque continuent à l'accompagner : elles distribuent des bourses d'étude, accueillent les élèves en stage, interviennent en tant que chefs d'entreprise dans la formation et participent aux rencontres avec les diplômés. Pedrollo fait partie des sociétés qui soutiennent les projets de LIUC.
Dans ce film, les étudiants racontent ce que signifie pour eux leur évolution professionnelle et personnelle en contact étroit avec le monde de l'entreprise.
INAUGURATION DE L'AMPHITHÉÂTRE "PEDROLLO"
UNIVERSITÉ DE TIRANA - 4 MARS 2011